Profil moyen des stagiaires

 

Méthodologie

 

Afin d'examiner le profil moyen des stagiaires de formation d'anglais, j'ai regardéles critères sur plus de 50 participants que j'ai formés durant la période septembre 2011 – novembre 2013.

Tous les participants sont résidants de la France, dont la langue maternelle est le français.

Je voulais examiner les critères suivants :

  • Sexe

  • Tranche d'âge

  • Niveau CEFR  au début de la formation

  • Type de poste

  • Secteur d'activité

  • Fonction au sein de l'organisation

 

 

 

 

Résultats

 

 

 

Les données montrent clairement que les deux tiers des stagiaires étaient des femmes, avec seulement 36% d'hommes.

 

 

 

Selon les données, la grande majorité des stagiaires avaient un niveau CEFR A2 / B1 / B2, avec plus de 70% entre ces trois niveaux.

 

 

La plupart des stagiaries (69%étaient dans la trentaine et la quarantaine, avec environ 20% au dessus des cinquante ans et uniquement 11% en dessous des trente ans.

 

 

 

Selon les données, la division entre management et employé est plutôégale, tandis que 8% des participants étaient des PDG ou des chefs d'entreprise.

 

 

 

Nous constatons qu'il y a un large éventail de secteurs représentés, les principauxétant la Logistique, l'Electronique et la Pharmaceutique.

 

Les données montrent que les postes en Opérations, Management et Compta/ Finance représentent presque les deux tiers des stagiaires.

 

 

Conclusions et réflexions

 

 

Les statistiques les plus frappantes sont que près des deux tiers des stagiairesétaient des femmes. Ceci peut s'expliquer de plusieurs manières :

 

  • le secteur spécifique dans lequel travaillent les femmes pourrait éxiger une meilleure maîtrise d'anglais que celle requise par des hommes. De plus, dans les sociétés avec qui j'ai travaillées dans le secteur tertiaire, les femmes sont très souvent plus nombreuses que les hommes.

  • Les femmes pourraient être davantage enclines à améliorer leur niveau d'anglais, pourraient avoir moins de complexes et pourraient être plus susceptibles à demander une formation d'anglais.


 

 

Plus de 70% des stagiaires ont un niveau A2 / B1 / B2, indiquant les niveaux entre Pré-intermédiaire et Intermédiaire supérieur. Les participants ont donc des bonnes àtres bonnes bases et connaissances d'anglais, qu'ils espèrent actualiser, améliorer ou perfectionner.
 

 

Près d'un cinquième des participants avaient un niveau C1 ou C2; en règle générale, ces personnes avaient passé longtemps dans un pays anglophone et ont demandé une formation afin d'atteindre le même niveau d'anglais qu'à cetteépoque.

 

 

Un point très intéressant est l'âge des stagiaires. De manière écrasante, les participants étaient des trentenaires et des quarantenaires. Ces personnes sont elles à un point de leur carrière ou elles ont besoin et ont envie d'améliorer leur anglais ? Inversement, un cinquième seulement était âgé de plus de 50 ans. Ceci pourrait s'expliquer par le sentiment de ces derniers de ne plus avoir besoin d'améliorer leur anglais, ou bien par le refus des sociétés francaises à leur accorder une formation de langue ?

 

 

Un stagiaire sur dix seulement avait en dessous des trente ans. Les jeunes diplômés et les nouvelles recrues n'ont ils pas besoin d'améliorer leur aptitudes en langues, ou leurs besoin de formation ne sont ils pas prioritaires ? 


 

La grande proportion de PDG et managers suggère que les chefs d'entreprises francais ont bien identifié des lacunes en matière de leurs propres compétences ainsi qu'un véritable besoin d'améliorer leur anglais afin de permettre à leurs sociétés de surmonter la crise actuelle et de conquérir les nouveaux marchés. 

 

 

Étonnamment, les deux secteurs phares de la région, l'aéronautique et le vin, représentent uniquement 10% conjointement des participants. Des systèmes sont ils déjà en place afin de permettre à ces entreprises de communiquer de manière efficace à l'échelle internationale ?


 

 

Près des deux tiers des stagiaires occupaient des postes en Opérations, Management et Compta/ Finance. Ces fonctions ont elles particulièrement besoin d'améliorer les aptitudes en anglais ? Ou bien, sont les personnes dans ces roles plus susceptibles de parler l'anglais dans leur travail ? 

 

 

Ce qui est évident, c'est que les entreprises dans tous les secteurs ont identifié le besoin d'améliorer et de perfectionner les aptitudes en anglais de leurs salariés.

 

 

 

 

 

 

 

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© Scott Gilmour